CHUZZ, PELADO, O DE FLANEURETTE Y EL DE BRUNETE

21 febrero 2013

no es ninguna pulga satrapera...

...de las que te puedes encontrar cualquier dia-momento en nuestro pais-de-estafadores
...ni la oquedad pervertida de un hyeronimus cualquiera de luto por su coccyx defenestrado
...tampoco el cadaver oculto dentro del cerebro homunculoso del ratzingerryoso en visperas de
JAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
jaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
explota que te explota en la cara, como el atraganto por ahora del futbol español por europa
imposible no reseñar la supergañanada del drago en estas ultimascasi lineas....su nuevo eslogan para la patria que le vio nacer y todavia le enterramos al lado de su gatito el fantasma del SOMOSHUMOVILLE.....

"españa....siesta, fiesta e INIESTA!"

crack, que eres un crack, en el desierto, follandote a ninfulas niponas, poniendo cuernos a tus vacas o "si si, una felacion, oh yeah!" a tu queridisimo jose tomas, ese portaripios del quintanillo..
por cierto, os dejo con otro tomas, quizas un pelin mas FRACTALOIDE...chuzz, recuerdame que te pase su libro proximamente, a ver cuantas paginas llenas de amargura vitriolica aguantas

bueno, pues eso, un queso y una resonancia espectrofatal, para este jueves donde los haya.
salud

ps..."bola extra" para los que tengan "tiempo" y le den al frances....TREMENDO LAUTREMONT!
J'ai vu, pendant toute ma vie, sans en excepter un seul, les hommes, aux épaules étroites, faire des actes stupides et nombreux, abrutir leurs semblables, et pervertir les âmes par tous les moyens. Ils appellent les motifs de leurs actions: la gloire. En voyant ces spectacles, j'ai voulu rire comme les autres; mais, cela, étrange imitation, était impossible. J'ai pris un canif dont la lame avait un tranchant acéré, et me suis fendu les chairs aux endroits où se réunissent les lèvres. Un instant je crus mon but atteint. Je regardai dans un miroir cette bouche meurtrie par ma propre volonté! C'était une erreur! Le sang qui coulait avec abondance des deux blessures empêchait d'ailleurs de distinguer si c'était là vraiment le rire des autres. Mais, après quelques instants de comparaison, je vis bien que mon rire ne ressemblait pas à celui des humains, c'est-à-dire que je ne riais pas. J'ai vu les hommes, à la tête laide et aux yeux terribles enfoncés dans l'orbite obscur, surpasser la dureté du roc, la rigidité de l'acier fondu, la cruauté du requin, l'insolence de la jeunesse, la fureur insensée des criminels, les trahisons de l'hypocrite, les comédiens les plus extraordinaires, la puissance de caractère des prêtres, et les êtres les plus cachés au dehors, les plus froids des mondes et du ciel; lasser les moralistes à découvrir leur coeur, et faire retomber sur eux la colère implacable d'en haut. Je les ai vus tous à la fois, tantôt, le poing le plus robuste dirigé vers le ciel, comme celui d'un enfant déjà pervers contre sa mère, probablement excités par quelque esprit de l'enfer, les yeux chargés d'un remords cuisant en même temps que haineux, dans un silence glacial, n'oser émettre les méditations vastes et ingrates que recélait leur sein, tant elles étaient pleines d'injustice et d'horreur, et attrister de compassion le Dieu de miséricorde; tantôt, à chaque moment du jour, depuis le commencement de l'enfance jusqu'à la fin de la vieillesse, en répandant des anathèmes incroyables, qui n'avaient pas le sens commun, contre tout ce qui respire, contre eux-mêmes et contre la Providence, prostituer les femmes et les enfants, et déshonorer ainsi les parties du corps consacrées à la pudeur. Alors, les mers soulèvent leurs eaux, engloutissent dans leurs abîmes les planches; les ouragans, les tremblements de terre renversent les maisons; la peste, les maladies diverses déciment les familles priantes. Mais, les hommes ne s'en aperçoivent pas. Je les ai vus aussi rougissant, pâlissant de honte pour leur conduite sur cette terre; rarement. Tempêtes, soeurs des ouragans; firmament bleuâtre, dont je n'admets pas la beauté; mer hypocrite, image de mon coeur; terre, au sein mystérieux; habitants des sphères; univers entier; Dieu, qui l'as créé avec magnificence, c'est toi que j'invoque: montre-moi un homme qui soit bon!... Mais, que ta grâce décuple mes forces naturelles; car, au spectacle de ce monstre, je puis mourir d'étonnement: on meurt à moins.



2 comentarios:

Chuzz dijo...

A ver ese francés, Pitxi, que a mi me suena a chino...

Me quedo con el chavaluco a lo Iniesta que juega a las chapas con el Funko

O de FLANEURETTE dijo...

"le POING le plus robuste"....gao, save us from despair!
salud